Finale de la conférence du stage 2021-2022

Finale de la conférence du stage des avocats aux Conseils

13 juin - 10h00 - Grand’Chambre de la Cour de cassation

Inscription préalable obligatoire

Les conférences de l'Ordre - Frédéric Baab, procureur français du parquet européen

Bibliothèque de l'Ordre des avocats aux Conseils

Accès par l'entrée "Professionnels" du Palais de justice, 4 boulevard du Palais

Inscription obligatoire

Les conférences de l'Ordre - Le Tribunal de l'Union européenne

Bibliothèque de l'Ordre des avocats aux Conseils

Accès par l'entrée "Professionnels" du Palais de justice, 4 boulevard du Palais

Inscriptions closes

Rentrée solennelle de la conférence du stage des avocats aux Conseils

Le 30 novembre prochain aura lieu, à 14h00, en salle d’Assemblée générale du Conseil d’État, la Rentrée solennelle de la conférence du stage des avocats aux Conseils qui sera, pour la première fois, retransmise en direct et en différé sur internet.

Conférence du Stage - Séance n° 16 et clôture du premier tour

Est-il exclu que l’héritier qui a renoncé à la succession de son ascendant soit déchargé de l’obligation mise à sa charge par l’article 806 du code civil de payer, à proportion de ses moyens, les frais funéraires lorsque l’actif successoral est insuffisant, en démontrant que le de cujus a manqué gravement à ses obligations envers lui ?

Conférence du Stage - Séance n° 15

La complicité de crimes contre l’humanité peut-elle être retenue à l’encontre d’une personne, sans que celle-ci n’ait eu l’intention de s’associer à la commission de ces crimes ?

Conférence du Stage - Séance n° 14

Le droit de l’Union européenne fait-il obstacle à ce qu’il soit imposé aux opérateurs de communications électroniques, aux fournisseurs d’accès à internet et aux hébergeurs de contenus la conservation généralisée et indifférenciée de l’ensemble des données de connexion autres que les données d’identité à des fins de sauvegarde de la sécurité nationale ?

Conférence du Stage - Séance n° 13

Le licenciement du salarié n’ayant pas prêté le serment prévu par l’article 23 de la loi du 15 juillet 1845 sur la police des chemins de fer, en raison de son refus de prononcer la formule « je le jure », contraire à ses convictions religieuses, est-il dépourvu de cause réelle et sérieuse ?